De son goût pour la comédie, Robert a gardé le sens du rêve et des thèmes accrocheurs, capables de synthétiser l’ambiance de chansons qu’il imagine souvent comme de petits scénarios. 

Robert écoutera ensuite la musique classique et se rendra à chaque nouvelle représentation de l’opéra de Montréal. 

Dans la foulée, il s’affirme comme chanteur et, sous l’influence des artistes country,
comprend que l’écriture lui permettra de libérer son hypersensibilité. Un cheminement qui le mène logiquement à délaisser une vie tranquille pour rêver d’aventure.
Le rock, le pop, le Jazz et le classique l’a fait vibrer pour l’intensité des émotions, le charisme charnel de ses héros. Mais sa passion des mélodies l’attire vers d’autres horizons. 

Sur le tard, il se rapproche de la chanson country, de cet art de raconter des histoires
touchantes avec des mots simples. Il admire Richard Huet, Pier Béland et Guylaine Tanguay, David Bernatchez, remonte jusqu’a la famille Daraiche et Marie King. 

« J’aime quand la fraîcheur, l’optimisme se découvrent derrière la mélancolie. Idéalement je veux écrire des chansons qui parlent et font du bien aux gens ».